Le monde des cancres, tome 1 : sous l'école




St Joseph est un internat d'excellence, aux résultats inégalés et à la discipline exemplaire. Du moins, en apparence. Car dans les sous-sols se cache une partie secrète et escamotée, construite par la directrice, afin de remettre les mauvais élèves et les récalcitrants dans le droit chemin. Mieux vaut ne pas être collé et envoyé là-bas ! Des salles de punition incroyables y ont été installées avec de véritables épreuves à passer et des machines en guise d'enseignants.

Mon avis

Benjamin est ce qu'on peut appeler un mauvais élève. Pour son bien, ses parents décident de l'emmener dans une école un peu particulière. Il s'agit du Collège St Joseph, un internat reconnue pour son excellence et sa discipline.

La principale va l'emmener directement en cours de Mathématiques, où il va faire la connaissance d'Aria. Alors qu'elle lui fait visiter l'établissement, ils tombent sur des élèves au comportement étrange. Elle nous explique qu'ils sont comme ça car ils ont été collés, donc reformatés. Tout est sujet à sanction, un bavardage, une parole libérée sans autorisation... Personne n'est à l'abri de la punition.

Benjamin décide pendant la nuit, de faire une petite farce, et Aria se dénonce à sa place. Elle est immédiatement emmener par deux agents de sécurité en colle.
Mais Aria ne réapparaît pas, il va alors s'en inquiéter et va décider de faire une bêtise pour être puni au même endroit qu'elle afin de la retrouver.

Mais que va-t-il découvrir dans les sous-sols de l'école ?


Un premier tome original et immersif, qui rentre directement dans le coeur du sujet. Qu'arrive-t-il aux élèves qui sont collés ? L'histoire reste assez mystérieuse, vous allez être surpris de ce que cache cette école soi-disant parfaite !

Les personnages sont super attachants. Ils sont très bienveillants entre eux, courageux, ils s'entraident pour survivre aux épreuves machiavélique.
Le seul regret est que l'histoire se lit trop vite !

Les illustrations de Justine Cunha sont un vrai régal pour les yeux !

Je remercie Netgalley et les Editions Dupuis pour ce service presse numérique.

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